Des femmes d’origine nigériane signent un pacte avec un fétiche depuis le Nigéria et se livrent à la prostitution pour payer leurs dettes.
Le « juju » est un objet mystique qui d’après le féticheur, aurait des pouvoirs surnaturels pouvant entraîner la malédiction de celui ou celle qui aura violé le contrat signé avec lui.
Avant le voyage pour l’Europe, les jeunes femmes sont souvent soumises au rituel vaudou et le féticheur passe un contrat entre le « juju » et elles pour les contraindre à rester fidèles à leur engagement. Dans le cas contraire, elles s’exposent à la malédiction de « juju » pour le restant de leur vie.
Ce phénomène fait partie des points noirs des sociétés africaines contemporaines. Le « juju » serait pratiqué par des femmes au Nigeria, qui font voyager des jeunes filles dans des pays européens comme la France, la Russie et l’Italie.
ces dames recruteraient les filles dans la ville de Bénin City dans l’État d’Edo au sud-ouest du Nigeria et une fois en Europe elles sont obligées de se prostituer pour rembourser la dette a la madame qui reçoit toutes les recettes jusqu’à l’acquittement de la dette.
Les lois nigérianes auraient donnés à l’Agence nationale pour l’interdiction de la traite des personnes(NATPIP) le pouvoir d’arrêter des suspects, de les poursuivre en justice, fouiller des locaux, saisir biens issus de trafic et placer le produit dans un fonds pour les victimes du commerce de sexe.
Il faut noter que En réalité, le « juju » n’aurait aucun pouvoir ni aucune influence sur les jeunes femmes. Il est juste utilisé comme moyen pour contraindre les jeunes femmes à rembourser leur « dette ». Le « juju » n’a de valeur qu’en raison de la naïveté des jeunes femmes soumises au commerce sexuel.